logo dentiste équin

 

Le partenaire incontournable de votre cavalerie

Equilibre, santé, rentabilité sont les clefs de votre succès

Accueil Pourquoi un dentiste équin ? Pathologies Presse L'intervention Liens & partenaires Soins et matériel Contact et Tarifs Portail, forum, livre d'or, news...

 

Mon Parcours

yann hamon dentiste équin

Ayant grandi en Basse Normandie, j'ai évolué en pleine campagne au pays des chevaux.

J'ai commencé réellement à monter à cheval à l'âge de 10 ans à la Cravache d'Argentan. Yves Legout m'a ainsi enseigné l'équitation classique pendant 7 ans environ .

Le cheval est devenu tout de suite ma principale motivation. Ma première jument fut une véritable révélation pour moi, j'avais 17 ans et une amie et moi avions acheté cette réformée pur-sang d'environ 10 ans. Grâce à elle j'ai découvert l'autonomie à cheval et l'équitation d'extérieur, j'ai découvert également l'engagement personnel que demandait un cheval à soi : du temps, du travail , et de l'argent. Et enfin j'ai découvert ce qu'il en était de voir mourir son compagnon...

Assuré de ma passion pour les équidés j'entrepris de passer un brevet de technicien agricole en élevage équin ,à l'IREO de Mauvaisville (61), bien décidé à en faire mon métier. Il m'en a fallu de la motivation, non pas pour les cours mais pour les stages "à l'ancienne" : debout à l'aube , couché bien après le soleil, les week-ends 1 fois sur deux, bref sans ménagement ni pour les chevaux, ni pour les gars. On est mis dans le bain tout de suite, le froid, les horaires (on est loin des 35 h), c'est physique (il faut avoir "la moelle", ou "la gnaque"), bref pas de mensonge sur l'avenir, si tu veux en faire ton métier il faut apprendre à en baver parce que les chevaux ce n'est pas un métier facile, et surtout dans les courses. J'ai eu la chance, d'avoir fait mes classes chez Emmanuel Leclerc en préparation des yearlings. Ce n'était pas de tout repos certes (on est loin du travail en centre équestre !), mais j'ai réellement appris le métier avec des chevaux qui n'étaient pas toujours faciles, j'ai appris aussi à être un peu plus un homme : à faire ma place parmi les chevaux mais aussi parmi les gens.

Après cette école, j'ai passé mon accompagnateur de tourisme équestre, j'étais vraiment intéressé par la randonnée et le TREC et je voulais faire partager ma passion.

Thierry Greusard, m'a pour ainsi dire formé à la rando et son encadrement, j'ai d'ailleurs travaillé plusieurs fois chez lui à La Rotourelle (61).

André Soudant a complété mes connaissances dans ce domaine ainsi que celui de l'attelage (marathon), sa famille et lui m'ont hébergé quelques temps dans leur ferme en Corrèze : une région pleine de charme, de forêts et d'étangs, toujours au calme, un cadre rêvé pour pratiquer l'équitation d'extérieur.

En fait c'est un banal accident de poney d'un ami qui m'a amené au pur-sang anglais. Julien Mérienne, aujourd'hui entraîneur, s'était tout bonnement cassé le poignet, ainsi il m'appela pour que je lui file un coup de main à l'entraînement de ses chevaux, en guise de coup de main ça a été le coup de foudre: Entre le caractère de ces chevaux, et ces sensations inconnues et grisantes du Canter ! Wouaw, je n'allais plus quitter le milieu jusqu'à l'exercice de la dentisterie.

Dès que mon ami fut rétabli, je partis direct en Angleterre comme lad-jockey d'entraînement et pour les débourrages chez Gerard Bulter .

A mon retour en Normandie (le mal du pays) je fus choisi comme responsable de haras, au haras de la Verrerie (appartenant à l'origine Elie de Brignac). A ce poste je fus chargé de la préparation des yearlings pour Deauville et Newmarket avec des chevaux de grandes origines notamment Whipper. En plus de l'élevage, j'étais en charge des soins et de la remise en forme de certains chevaux comme Nashwan Rose ou le célèbre Cyrlight.

Bien décidé depuis toujours à gérer un jour ma propre écurie, j'ai dû y renoncer pour un souci au genou. J'ai donc entrepris d'apprendre le métier de dentiste équin, ce n'était pas un choix au hasard, dans les meilleures écuries j'ai toujours travaillé avec des dentistes équins, et en tant que responsable je connaissais l'importance de l'entretien de la table dentaire. Qu'il s'agisse de course, de CSO, d'élevage, de ventes, celui qui veut des chevaux au top doit mettre tous les éléments de son côté : alimentation, maréchal, véto, ostéopathie et le dentiste. Convaincu de l'importance de cet acteur dans ce processus de mise en condition du cheval, de son entraînement en vue de meilleures performances et de rentabilité j'ai choisi d'en faire mon métier, et j'espère venir un jour rejoindre votre équipe de travail sur votre écurie.

Dix-neuf-quatre, le premier "produit"de ma poulinière.

Je possède 2 poulinières PS dont les premiers produits commencent à courir.

whipper

Whipper gagne le prix de Morny 2003 -photo aprh

J'ai préparé et présenté ce fils de Miesque's son et Myth to reality aux ventes de yearlings de Deauville.

cyrlight

Cyrlight vainqueur du Ferdinand Dufaure 2004

On ne présente plus ce crack de S. Mulryan. J'ai eu le plaisir de travailler avec cet homme à Ardenode stud (Irlande) ou en Normandie à l'élevage, la préparation, les ventes ou la remise en forme de la plupart de ses chevaux.

Yann HAMON - « La Vallée » 61150 Montgaroult FRANCE – 06.85.45.29.70 - 09.53.72.60.05 -  surdents@free.fr ©

email dentiste équin